azulphoenix

Worl Of Winds

Vendredi 18 février 2011 à 22:17

Attention je n'ai pes écrit ce texte dans le but gratuit de me moquer d'un gars & d'une fille, mais seulement parce que franchement la situation l'exigeait !
Voici donc un poème en hommage à un mec qui s'est entiché d'une vraie punaise (et je ne suis pas misogyne) et qui jouais au gros dur car je lui faisait de l'ombre. Tout cela avant que je ne réalise à quelle femme je commençais à m'enticher. Mais bon, mieux vaut en rire qu'en pleurer :)
En souvenir de cette époque surréaliste et amoureusement-débile. Comme on dit : Spécial dédicace à un gars et une fille qui sont faits pour être ensembles (si ils le lisent ils ne se reconnaîtront même pas, tellement ils sont ... enfin lisez vous comprendrez tout de suite).
ENJOY IT !

Tête de con
 
C’est fou comme on peut en voir
Partout dans le Purgatoire
Des gens qui n’ont rien comprit
A la vie
 
Sur les dires de quelqu’un
Ils vous menacent en coin
De vous faire gouter à leur poing
C’est débile à un point …
 
Surtout quand la personne en question est une mythomane
Qui ne s’amuse que lorsque, pour elle,  les roses se fanent
Qui ne glane
Sa vie, que sur le compte des profanes
 
Des têtes de cons
J’en ai déjà vu
Mais pas de cette façon
A vous deux c'est farfelu !
 
Quand on n’a pas toute les infos
On ne fait pas son numéro
Comme un idiot
On ne joue pas au toréro
 
Sous prétexte qu’on a la trentaine
On se croit plus en veine
On croit tenir les rênes
Mais on ne voit rien à peine
 
Ce n’est pas parce que j’ai la vingtaine
Que je suis à la traine !
Tes menaces de croque-mitaine
Me font rigoler sans peine
 
Vois la folle qui siège à ton côté
Même si elle est de toute beauté
Elle est tout de même gonflée
De nous faire se confronter
 
Nous qui aurions pu être amis
Elle nous crée des soucis
Et elle en rit
De cette anguelade ci
 
Tête de con
Tu ne vois pas ce qui siège à ton horizon
Cette peste
Veux que l’on se déteste
 
Pour elle c’est un jeu
Elle nous prend pour des bœufs
Pour des têtes de nœud
Mais je ne suis pas désireux
De salir mon poing de ton sang adipeux
Comprend tous les enjeux
Ce sera la guerre entre nous deux
Si tu continus à me menacer avec du feu
 
Je ne te connais pas depuis la création
Mais si l’on s’enflamme d’une telle façon
Pour une telle guenon
On sera vraiment des cons
 
Mais peut-être que cela te plaît
D’être son valet
De lui lécher les mollets
En croyant que plus que moi elle t’a aimé

Mais cette idée est burlesque
Dans cette fresque
Jamais personne, à par elle même, elle n'a adoré
Avec nous elle ne fait que s'amuser
 
Mais peut-être que cela te plaît
D’avoir une femme aussi dévouée
Car elle n'a vraiment rien à t'apporter
A part, peut-être, un peu de plaisir osé

D'elle suinte le mensonge éhonté
Et toi comme un bennet
Tu marches, et cours même, dans ses combines insensées
Ton esprit délirant me fait rigoler
 
J’en ai marre des cons
Comme toi, brouillons, couillons, ...
Qui se prennent pour des lions
Qui croient à leur déraison
 
C’est fou comme on peut en voir
Partout dans le Purgatoire
Des gens comme toi qui n’ont rien ne comprit
A la vie

Je m'en suis vacciné
Plus question de l'approcher
Vu comme elle m'a utilisé
Je te la laisse volontier
Tu me fais pitié
Car tu défends avec tant de vanité
une telle saleté
Alors que tu es son bouffon
Qu'elle fait tourner en rond

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